C’est au château de Bourgogne que notre Député-Bourgmestre, Daniel Senesael a accueilli, ce jeudi 4 décembre 2008, Guy Spitaels, Ministre d’Etat.Devant une centaine de personnes, ce dernier nous a présenté son dernier livre « Obama Président, la méprise ».
En résumé, lorsqu’il parle de méprise, il s’agit de « la méprise des Européens et de la gauche » qui, selon lui, se bercent d’illusions à la fois sur la marge de manœuvre d’un Président américain en général et sur les véritables intentions de celui-ci en particulier.
Guy Spitaels prévoit que le président Obama sera « exceptionnaliste et guerrier ». Exceptionnaliste parce qu’il fera sien le discours très répandu qui prête aux Etats Unis « un destin particulier ». Guerrier parce qu’il pourra difficilement se sortir des logiques de guerre en Afghanistan et en Irak, qu’il s’est lui-même déclaré favorable à des interventions unilatérales si l’intérêt national l’exige.
Enfin, précisons que ce livre, aux éditions Luc Pire, de 253 pages est à votre disposition pour 25€ dans toutes les bonnes librairies.
2 commentaires:
Bernard LEFEBVRE,votre Président est donc dans la même ligne d'idées en écrivant ceci sur le blog de Daniel Senesael:"Superbe victoire d'Obama. A choisir,mes préférences vont,sans équivoque, vers lui. ...Attention, après l'euphorie,retombons les pieds sur terre. Sa venue à la Présidence des states aura de nombreux effets positifs indéniables mais le seront-ils en tous points pour nous (Européens,Belges)? L'amélioration de l'image de marque des USA,un éventuel redressement financier,économique,..auront-ils uniquement des effets positifs chez nous? Leurs nouvelles politiques internationales (retrait de l'Irak,investissement en Afghanistan) seront-elles sans influence sur les engagements humains,financiers,..européens et belges? Comme dit l'Anglais:"Wait and see"."
Bonjour Herman,
Je t'avoue que je suis surpris de retrouver l'intégralité de mon intervention sur notre blog: fidèle lecteur du blog de Daniel Senesael? Merci de ta visite et quand tu veux pour d'autres commentaires.
Bernard LEFEBVRE
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